Cœurdonnier - Soprano (503)

Qui a vu le cœurdonnier
Le monde a le cœur déchiré
Il aimerait tellement aimer
Mais les hommes
Mais les hommes
Mais les hommes
Où t’ont-ils fait prisonnier
Mes prières doivent te libérer
Le cœur du monde veut être sauvé
Mais les hommes
Mais les hommes
Mais les hommes

Je vois dehors des cœurs en panne
Des cœurs en or
Devenir des cœurs de pierre
Des cœurs de glace
Des cœurs en flammes
Des cœurs qui explosent
Au milieu de cœurs de verre
Si tu nous entends viens nous le réparer
Le cœur du monde va mal monsieur le cœurdonnier
(On a le cœur déchiré
On a le cœur déchiré
On a trop besoin d’aimer, où es-tu le cœurdonnier)
La folie des hommes nous l’a déchiqueté
Le monde a besoin de toi monsieur le cœurdonnier
(On a le cœur déchiré
On a le cœur déchiré
On a trop besoin d’aimer, où es-tu le cœurdonnier)

Le monde a le cœur divisé
Même Cupidon n’a aucun effet
Toutes ses flèches ont échoué
Car les hommes
Car les hommes
Car les hommes
La fumée des bombardiers
Et la pollution l’empêchent de respirer
Le cœur du monde va s’arrêter
Car les hommes
Car les hommes
Car les hommes

Je vois dehors des cœurs en panne
Des cœurs en or
Devenir des cœurs de pierre
Des cœurs de glace
Des cœurs en flammes
Des cœurs qui explosent
Au milieu de cœurs de verre
Si tu nous entends viens nous le réparer
Le cœur du monde va mal monsieur le cœurdonnier

(On a le cœur déchiré
On a le cœur déchiré
On a trop besoin d’aimer, où es-tu le cœurdonnier)
La folie des hommes nous l’a déchiqueté
Le monde a besoin de toi monsieur le cœurdonnier
(On a le cœur déchiré
On a le cœur déchiré
On a trop besoin d’aimer, où es-tu le cœurdonnier)

Où es-tu, où es-tu, où es-tu le cœurdonnier
Où es-tu, où es-tu, où es-tu le cœurdonnier
Où es-tu, où es-tu, où es-tu le cœurdonnier
On a le, on a le, on a le cœur déchiré

(On a le cœur déchiré
On a le cœur déchiré
On a trop besoin d’aimer
Où est-il le cœurdonnier)
Je te vois monsieur le cœurdonnier
Oui je te vois dans ton atelier
Tu répares avec l’innocence d’un enfant
Tu recouds avec le sourire d’un passant
Tu recolles avec la douceur d’une maman
Tu tisses avec du jaune, noir et du blanc
Mais quand je regarde ce monde de fou
Je me dis que le cœurdonnier c’est nous