Le Temps des fleurs - Dalida (278)

Dans une taverne du vieux Londres
Où se retrouvaient des étrangers
Nos voix criblées de joie montaient de l’ombre
Et nous écoutions nos cœurs chanter

C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel

(la-la-la-la la-la
La-la-la-la la-la
La-la la la la-la
La la la la)

Et puis sont venus les jours de brume
Avec des bruits étranges et des pleurs
Combien j’ai passé de nuits sans lune
À chercher la taverne dans mon cœur

Tout comme au temps des fleurs
Où l’on vivait sans peur
Où chaque jour avait un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel

(la-la-la-la la-la)
(la-la-la-la la-la)
(la la la la)
(la-la la la la la)
(la-la-la-la la-la)
(la-la-la-la la-la)
(la la la la)
(la-la la la la la)

Et ce soir je suis devant la porte
De la taverne où tu ne viendras plus
Et la chanson que la nuit m’apporte
Mon cœur déjà ne la connaît plus

C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
(la-la-la-la la-la) (la-la-la-la la-la) (la la la la) (la-la la la la la)
(la-la-la-la la-la) (la-la-la-la la-la) (la la la la) (la-la la la la la)