Quand j'n’aurai plus le temps
De trouver tout l’temps du courage
Quand j’aurai mis vingt ans
À voir que tout était mirage
Je tire ma révérence
Ma révérence
Quand mon fils sera grand
Qu’il n’aura plus besoin de moi
Quand les gens qui m’aimaient
Seront emportés loin de moi
Je leur tire ma révérence
Ma révérence
Et ma vie
Endormie
Doucement
Et mon cœur sera froid
Ne saura même plus s’affoler
Il ne deviendra
Qu’une pauvre horloge à réparer
Il n’aura plus de flamme
Il n’aura plus de flamme
Il n’y aura plus de femme
Et mes amis fidèles
Auront disparu un par un
Trouvant que j’étais belle
Que j’aurais bien fait mon chemin
Alors j’aurai honte de mes mains
J’aurai honte de mes mains
Quand j’n’aurai plus le temps
De trouver tout l’temps du courage
Quand j’aurai mis vingt ans
À voir que tout était mirage
Alors j’entends au fond de moi
Une petite voix
Qui sourd et gronde
Que je suis seule au monde
De trouver tout l’temps du courage
Quand j’aurai mis vingt ans
À voir que tout était mirage
Je tire ma révérence
Ma révérence
Quand mon fils sera grand
Qu’il n’aura plus besoin de moi
Quand les gens qui m’aimaient
Seront emportés loin de moi
Je leur tire ma révérence
Ma révérence
Et ma vie
Endormie
Doucement
Et mon cœur sera froid
Ne saura même plus s’affoler
Il ne deviendra
Qu’une pauvre horloge à réparer
Il n’aura plus de flamme
Il n’aura plus de flamme
Il n’y aura plus de femme
Et mes amis fidèles
Auront disparu un par un
Trouvant que j’étais belle
Que j’aurais bien fait mon chemin
Alors j’aurai honte de mes mains
J’aurai honte de mes mains
Quand j’n’aurai plus le temps
De trouver tout l’temps du courage
Quand j’aurai mis vingt ans
À voir que tout était mirage
Alors j’entends au fond de moi
Une petite voix
Qui sourd et gronde
Que je suis seule au monde