Le Chant des sirènes - Fréro Delavega (236)

Enfants des parcs, gamins des plages
Le vent menace les châteaux de sable
Façonnés de mes doigts
Le temps n’épargne personne hélas
Les années passent l’écho s’évade
Sur la dune du Pilat

Au gré des saisons
Des photomatons
Je m’abandonne à ces lueurs d’autrefois
Au gré des saisons
Des décisions
Je m’abandonne
Quand les souvenirs s’emmêlent
Les larmes me viennent
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle
Harmonie fluette
Euphorie solitaire

Combien de farces combien de frasques
Combien de traces combien de masques
Avons-nous laissés là-bas
Poser les armes prendre le large
Trouver le calme dans ce vacarme
Avant que je ne m’y noie

Au gré des saisons
Des photomatons
Je m’abandonne à ces lueurs d’autrefois
Au gré des saisons
Des décisions
Je m’abandonne
Quand les souvenirs s’emmêlent
Les larmes me viennent
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle
Harmonie fluette
Euphorie solitaire

Oh, oh

Quand les souvenirs s’emmêlent
Les larmes me viennent
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle
Harmonie fluette
Euphorie solitaire

Quand les souvenirs s’emmêlent
Les larmes me viennent
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle
Harmonie fluette
Euphorie solitaire